Les sports et loisirs liés à la nature

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Les activités aériennes

 Parapente sur le littoral corse

R. Pouliquen, Ligue corse de vol libre

 

Une réglementation restrictive s'applique au survol des réserves naturelles.

 

La pratique du parapente recèle des possibilités considérables, pour la plupart encore inexploitées, compte tenu de l'étendue et de la variété du relief montagneux et des paysages. Néanmoins, des interférences de la pratique de cette activité avec la reproduction des grands rapaces (aigle royal et gypaète barbu) ont déjà été notées en Corse et pourraient survenir sur certains territoires ou leur contrôle serait alors nécessaire (zones de sensibilité majeure pour le gypaète barbu, rayons proches des nids d'aigles).

Le « base jump », activité à sensation forte et encore très marginale, pourrait dans les prochaines années avoir des incidences sur des populations d'oiseaux si elle est pratiquée dans des secteurs à fort enjeu de conservation (Capu Rossu...).

Le développement des activités de découverte par hélicoptère peut engendrer des nuisances préjudiciables à la grande faune (mouflon, gypaète, aigle royal, avifaune des milieux humides). C'est particulièrement vrai sur le massif de Bavella pour le mouflon. Plus ponctuellement, les baptêmes de l'air peuvent aussi, selon l'itinéraire, poser problème (les services de l'État sont en général consultés pour avis). Dans le cadre de sa charte, le PNRC a un rôle important à jouer pour la concertation en amont de ses activités.

La pratique d'ULM et de para-moteurs est en train de se développer mais reste marginale.

Une activité nouvelle est aussi apparue, le survol par drones de divers milieux ; les arrêtés ministériels du 17 décembre 2015 encadrent leur conception et leurs conditions d'utilisation. En fort déve-loppement, cette activité peut ponctuellement interférer avec l'avifaune (attaque du drone par des rapaces comme l'aigle royal avec dommages mutuels, perturbation des nids des colonies de reproduction). Une partie de l'usage professionnel des drones est encadrée par voie de déclarations préfectorales après avis de la DGAC, DREAL, etc.

Hors réserves naturelles, il est difficile de cadrer les usages individuels qui sortent du cadre juridique des arrêtés du 17 décembre 2015 modifié par l'arrêté du 10 avril 2020. Une cartographie des zones soumises à interdictions ou à restrictions pour l'usage, à titre de loisir, d'aéronefs télé-pilotés (ou drones) basée sur l'arrêté « Espace » du 17 décembre 2015 et un guide à destination des particuliers et des professionnels ont été établis par les services de l'aviation civile.

 

 

Les activités de montagne

DRJSCS, Thierry Olive

 

Le ski et la randonnée en raquettes

La pratique du ski alpin est relativement stable même si elle reste tributaire d'un enneigement aléatoire et que le terrain s'y prête mal.

La pratique des randonnées hivernales en raquettes, qui a supplanté la pratique du ski de fond, est en nette progression dans tous les massifs montagneux de l'île, certains sites répertoriés (Coscione, Verdanèse, Val d'Ese, Camputile, Vergio) s'y prêtant particulièrement. Il convient néanmoins de noter un manque d'aménagement malgré la volonté des communes de développer cette activité dont les retombées économiques pourraient être importantes en matière de produits touristiques.

La pratique du ski de randonnée reste limitée à un nombre restreint de pratiquants aguerris en raison de la difficulté des itinéraires. Les raids de randonnée en ski se développent (Asco, Castel di Vergio...). Des questions d'impact environnementaux et de sécurité pourraient se poser si cette tendance se confirmait.

L'hiver 2020-2021 a connu un enneigement particulièrement important, tant dans la quantité de neige, que dans la durée de la période d'enneigement. Au vu des conditions sanitaires liées à la pandémie de COVID-19, une augmentation significative du nombre de pratiquants de raquettes et de ski de randonnée a été constatée sur l'ensemble des massifs.

A titre d'exemple, pour la station d'Asco, la fréquentation de ces dernières années est la suivante :

Hiver date d'ouverture date de fermeture nombre de skieur Observations
2016/2017 8 janvier 12 mars 5 640  
2017/2018 2 janvier 17 mars 4 105  
2018/2019 12 janvier 10 mars 3 839  
2019/2020 - -   Manque de neige
2020/2021 - -   Fermeture des remontées mécaniques pour cause de COVID mais fréquentation importante entre le 15 décembre et le 21 mars
 Tableau 29 : Sports et loisirs dans les espaces naturels - Fréquentation de la station de ski du Haut Asco

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À noter qu'un comptage de véhicules a été réalisé pendant la période des vacances de février 2021, soit en moyenne 350 véhicules, ce qui représente au minimum 800 à 900 personnes chaque jour sur le site.

 

L'escalade

La pratique de l'escalade en Corse revêt plusieurs formes.

L'escalade « sportive » pratiquée en école d'escalade ou voie aseptisée de plusieurs longueurs (l'équipement des sites est complet et permet une escalade sécurisée par des points d'assurages et des relais fixes). De nombreuses voies, dites de "terrain d'aventure" sont recensées dans les topos guides recensant les différents itinéraires. Cette pratique nécessite l'emploi de points d'assurance amovibles placés dans le rocher par le pratiquant. Plus respectueuses des sites, elle permet de maintenir le rocher dans son état initial.

Les parcours de via ferrata, réglementés par arrêtés préfectoraux, sont à la disposition des pratiquants équipés. Ils peuvent également être exploités par des socio-professionnels diplômés.

Le développement des « parcours acrobatiques en hauteur » après avoir connu un engouement important par le passé s'est stabilisé voire a légèrement régressé. Ce développement s'il n'est pas planifié ou maîtrisé peut nuire à la flore et à la faune rupestre (rapaces).

 

Les activités marines

ATC, Thibaud Assante

 

Soumise à des vents réguliers, la Corse est le terrain de jeu idéal pour les activités nautiques de loisir. Elle se prête volontiers à la pratique de jet ski, de ski nautique, de planche à voile, de kayak des mers, de wakeboard, de stand up paddle, de surf et de nombreuses autres disciplines... y compris celle de la pêche maritime de loisirs.

 

Plus particulièrement au sein des aires marines protégées, nombreuses en Corse, certains gestionnaires ou acteurs, ont organisés les activités de loisirs nautiques. Cette organisation spécifique s'est concrétisée, parfois, par la signature de charte de respect des espaces protégés. Ces chartes sont des outils non contraignants visant la promotion, l'information et la sensibilisation des usagers de la mer au respect environnemental.

Malheureusement, ces activités peuvent avoir des conséquences graves pour l'environnement. Les impacts de ces activités proviennent principalement de quatre facteurs :

  • les mouillages : les 22 ports de plaisance, 3 abris côtiers et 6 marines auxquels s'ajoutent les 19 Zones de mouillage et d'Équipements Légers cumulent environ 7.760 places permanentes et plus de 3.300 de passages (Etude relative à la plaisance et aux mouillages en Corse, Stareso pour l'Office de l'Environnement de la Corse 2019)
  • En saison estivale cette capacité s'avère insuffisante même si de nouveaux mouillages organisés ont vu le jour et qu'une réglementation spécifique a été mise en place pour les plus grosses unités. Les mouillages non organisés participent à la destruction de l'herbier de posidonies et coralligènes et à la dissémination d'espèces invasives (Caulerpa sp).
  • les rejets polluants : macro-déchets, hydrocarbures et produits chimiques, eaux noires et grises. La réglementation impose depuis 2015 l'absence de rejets des eaux usées par les navires ;
  • le bruit : les motorisations font l'objet de progrès continus qui limitent cette nuisance (moteurs quatre temps) ainsi que les rejets d'huile. L'usage bateau hybride (diesel/électrique) de promenade en mer reste confidentiel à Scandola ;
  • la sur-fréquentation qui peut provoquer le dérangement des espèces et accentuer les points précédents.

La plongée sous-marine

Destination française prisée pour cette discipline, la Corse dispose de nombreux sites réputés et structures professionnelles.

Les nombreux clubs de plongée sont presque tous affiliés à la fédération française d'études et de sports sous-marins (FFESSM) spécialisée dans le domaine des activités subaquatiques de loisir et de compétition comme la plongée sous-marine, l'apnée, la nage en eau vive, la nage avec palmes et la plongée souterraine. La FFESSM est délégataire du ministère chargé des sports.

 

La plongée en scaphandre autonome est une activité très pratiquée pendant la période estivale. Elle représente environ 178.000 plongées par an. Ce chiffre totalise le nombre de plongées (une plongée par jour et par personne) qu'effectuent les plongeurs, quel que soit leur niveau, sur une année (Delsaux Y., 2010. La plongée sous-marine - Enquête sur les retombées socio-économiques d'un loisir sportif de nature. Rapport de master Développement du tourisme durable - Université de Corse.).

Les acteurs locaux diffusent aux usagers de l'information environnementale et participent aussi à des travaux scientifiques (observations naturalistes et dans le cadre du réseau de surveillance de Caulerpa taxifolia, Caulerpa cylindracea, des espèces exotiques envahissantes).

Les principaux spots ont été équipés de mouillages fixes qui limitent les dégradations. La fréquentation de ces sites en période estivale induit sans doute des impacts conséquents mais limités géographiquement et permet aussi de mieux conserver les sites comparables inutilisés.

La plaisance et les promenades en mer

Depuis plusieurs années, la navigation de plaisance connaît une progression constante en Méditerranée. C'est une activité importante en Corse, notamment de mai à octobre, avec un pic de fréquentation en juillet et août, où cette activité passe du simple au double.

La flotte de plaisance corse est caractérisée par (PADDUC Annexe 6 : Chapitre individualisé valant Schéma de mise en valeur de la mer, 2015) :

  • la sur-représentation des navires à moteur par rapport aux voiliers, une tendance qui s'accentue depuis 2000 ;
  • la sur-représentation des petites unités (situation comparable au contexte national), mais une tendance à l'allongement progressif de la taille des bateaux neufs (qui confirme l'existence d'un renouvellement chez les propriétaires) ;
  • une augmentation de la taille des bateaux de 6 à 8 mètres à partir des années 2000 au détriment des unités plus petites.

Le marché de la plaisance, contrairement à celui de la France métropolitaine, en baisse, est stable à un niveau de transaction (neuf et occasion) de l'ordre de 4.100 unités.

Le nombre de permis côtiers délivrés annuellement, de l'ordre de 2.500, en hausse depuis 2008, témoigne aussi de l'engouement pour cette pratique ainsi que du développement du secteur de la location.

La certification européenne « Ports Propres » est la première et la seule démarche de gestion environnementale spécifique aux ports de plaisance, à l'échelle européenne. Elle traduit une volonté forte de la part des gestionnaires de port de plaisance de prendre des engagements concrets pour œuvrer en faveur de la préservation des milieux aquatiques et du développement durable des activités littorales et marines. Elle s'appuie sur une étude de diagnostic environnemental du port et de son bassin versant, des actions de lutte contre les pollutions chroniques (déchets solides et effluents) et les pollutions accidentelles, des actions de formation et de sensibilisation. L'OEC soutient ce dispositif en accompagnant les ports dans leur processus de certification tant techniquement que financièrement (en partenariat avec d'autres financeurs).

Depuis 2018, une fois certifié « ports propres », les gestionnaires peuvent gravir un échelon supplémentaire vers l'exemplarité, via la certification (DRJSCS) 204 complémentaire « actif en biodiversité », en conciliant le fonctionnement du port de plaisance avec des actions en faveur de la préservation de la biodiver-sité.

Depuis 2019, l'OEC appartient au réseau national de formateurs « Ports Propres » et « actif en biodiversité ». A ce titre, il représente l'organisme référent privilégié pour les ports de Corse souhaitant un accompagnement dans le cadre de cette démarche.

A ce jour, le port de Bonifacio est certifié Ports propres et Ports Propres et Actif en Biodiversité et le port de Saint-Florent est certifié Ports propres. Une dizaine d'autres ports de Corse sont inscrits dans cette démarche et candidateront à cette certification très prochainement.

La grande plaisance (navires de longueur supérieure à 24 m) est un phénomène récent et en extension. La flotte mondiale est estimée à 6.000 unités et a doublé dans les dix dernières années. La Méditerranée occidentale concentre la majorité de la flotte mondiale de grande plaisance, localisée dans un arc allant du nord-ouest de l'Italie à la côte ouest espagnole16.

La Corse, peu pourvue en équipement propre à accueillir ces grosses unités, est devenue une escale secondaire et en particulier ses espaces protégés les plus emblématiques (réserve de Scandola, Bouches de Bonifacio).

La réglementation de la navigation et du mouillage relève de la compétence du préfet maritime de Méditerranée. Actuellement, la réglementation en vigueur ne saisit que partiellement les phénomènes de mouillage et d'arrêt des navires dans les eaux intérieures et territoriales françaises de Méditerranée.

L'arrêté préfectoral n° 155/2016 du 24 juin 2016 encadre le mouillage des navires de longueur supérieure ou égale à 45 mètres ou de jauge brute supérieure ou égale à 300 UMS en instaurant deux régimes : autorisation et déclaration. Sont soumis à autorisation de mouillage, tous les navires rele-vant de l'un des seuils précités, à l'exception des navires de plaisance qui doivent respecter cette procédure lorsque leur longueur est supérieure ou égale à 80 mètres. Lorsque leur longueur est inférieure à 80 mètres, les navires de plaisance doivent effectuer une déclaration de mouillage.

Le mouillage des navires de moins de 45 mètres est libre sauf réglementation locale particulière (zone d'attente portuaire, plan de balisage...).

L'arrêté préfectoral n° 123/2019 du 3 juin 2019 permet de remédier à ce manque en instaurant un cadre général pour le mouillage, applicable à tous 16 PADDUC Annexe 6 : Chapitre individualisé valant Schéma de mise en valeur de la mer, 2015. les navires, qui sera complété d'arrêtés d'application locale, à l'échelle d'un département ou d'un bassin de navigation pour préciser les zones de mouillage, pour les navires de 24 mètres et plus (ou 20 mètres et plus en fonction des enjeux locaux de protection).

Ce renforcement de la réglementation du mouillage et de l'arrêt des navires dans les eaux intérieures et territoriales françaises de Méditerranée a été initié par la nécessité de mieux encadrer ces activités, en raison de la très grande fréquentation du littoral méditerranéen, par l'augmentation importante de la taille des navires ces dernières années et la dégradation inquiétante des herbiers de posidonie présents par des fonds compris entre 0 à 40 mètres maximum. Ainsi que du renforcement nécessaire de la sécurité et de la sûreté maritimes.

Le Schéma de mise en valeur de la mer (SMVM) préconise de mailler le pourtour de l'île d'un réseau de bouées dédiées à la grande et très grande plaisance. Les sites potentiellement mobilisables sont nombreux, ils correspondent à des zones qui accueillent déjà ces unités sur ancre, ce qui confirme l'attractivité du site, et où l'environnement nautique permet ce type de développement.

A ce jour a été signé par le Préfet maritime de Méditerranée (PREMAR) :

  • Arrêté préfectoral n°206/2020 du 14 octobre 2020 réglementant le mouillage des navires de plus de 24m et plus au droit du département de la Corse-du-Sud dans le périmètre de la réserve naturelle des bouches de Bonifacio;
  • Arrêté préfectoral n° 21/2017 du 10 février 2017 réglementant la navigation au droit inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco, golfe de Porto : calanche de Piana, golfe de Girolata, réserve de Scandola;

et en cours de préparation ou de consultation du public, les arrêtés préfectoraux réglementant le mouillage des navires de plus de 24m dans le périmètre du parc naturel marin du cap Corse et de l'Agriate, dans le département de la Haute-Corse et dans le département de la Corse-du-Sud.

 

Le développement des « taxis boat » est en plein essor en Haute-Corse, notamment dans le golfe de Saint-Florent. L'impact des débarquements de passagers sur les plages de l'Agriate peut s'avérer néfaste si cette pratique n'est pas encadrée : conflits d'usage avec les baigneurs, sur fréquentation, impacts environnementaux, etc. Cette activité commerciale doit être soumise au paiement de la taxe «Barnier» dont les produits sont reversés au Conservatoire du littoral en faveur de la gestion des espaces naturels. Il conviendrait de mener un recensement des acteurs.

Plus répandues et plus anciennes, les promenades en mer sont également un moyen prisé de découvrir les espaces naturels et d'y débarquer. Toutefois, la concentration de bateaux de ce type dans des espaces fragiles, leur navigation proche des côtes peuvent avoir des impacts sur le milieu et les espèces tels que le balbuzard pêcheur.

 

Le jet ski

C'est une activité en fort développement. Une évolution sensible des pratiques est notée ces dernières années : à la simple location, les professionnels préfèrent proposer des randonnées accom-pagnées par des moniteurs hors de la bande des 300 m, là où ils peuvent faire découvrir tant les paysages que la biodiversité. Les compétiteurs réalisent leurs entraînements à distance de la côte. Les nuisances sonores ont diminué du fait des nouvelles motorisations.

 

Le kayak de mer

Nouvelle activité en expansion, le kayak représente un mode de transport doux pour la découverte des rivages. L'impact est plus important pour les sorties de plusieurs jours avec des bivouacs sauvages.

 

Les activités de plage

Les activités de plage et de baignade se concentrent, au moins sur la côte occidentale, sur peu de sites qui, pour certains, bénéficient d'espaces remarquables (arrières plages, milieux dunaires) qu'il conviendrait de mieux protéger. Cette pratique génère indirectement des activités de prestations de services (location d'engins nautiques motorisés) et de restauration saisonnières à but lucratif qui se développent fortement, engendrant par contre coup une fréquentation des abords des plages et entraînant des impacts non négligeables sur les milieux dunaires par nature fragiles et abritant des espèces sensibles. Les aménagements réalisés pour protéger les milieux et prévenir les conflits d'usages (ganivelles, emmarchements, chenaux d'accès à la plage, zones de baignade) sont, sur certains sites, régulièrement dégradés et nécessitent l'intervention fréquente des gestionnaires lors-qu'il s'agit de sites protégés.

Il est à noter que, durant le printemps 2020, l'accès aux plages de Corse a été interdit pendant plusieurs semaines par arrêtés préfectoraux en date du 15 avril 2020 dans le cadre de la crise sanitaire liée au coronavirus.

 

 

La spéléologie

La pratique de la spéléologie constitue une activité relativement confidentielle en Corse en raison du nombre restreint de réseaux karstiques, mais il existe cependant un comité régional de la fédération française de spéléologie (FFS) et deux clubs.

 

De nouvelles activités dans le milieu naturel

Les premiers « jeux de rôle grandeur nature » et les « muds days » (courses dans la boue par équipe) se développent en Corse, se traduisant parfois par des rassemblements importants de pratiquants en milieu naturel.
L’évolution de ces manifestations nécessite une vigilance accrue pour mieux connaître et encadrer ces pratiques.
 

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