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Bonnes pratiques

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  • Plaquette (9.53 MB - Monday 12 September 2016) Signaler document absent !

    Les travaux sont réalisés à l'aide de deux juments de traits. De multiples services sont proposés :

    - Travaux sur des espaces naturels sensibles (milieux forestiers, cours d'eau...). Ces méthodes permettent de préserver la biodiversité qui caractérise ces espaces. Ex : création et entretien de sentiers, débardages forestiers ou en zones humides, restauration et entretien des ripisylves, etc.
    - Labour en agriculture biologique et vendange en viticulture biologique. Dans ces domaines, les bienfaits de la traction animale pour les sols ne sont plus à démontrer.
    - Nettoyage écologique des plages. Nettoyage écologique sans porter atteinte au trait de côte ou à la dune.
    - Journée de découverte, démonstrations et sensibilisation. Il s'agit d'initier la population à cette technique et à ses avantages et ainsi sensibiliser aux bonnes pratiques en matière de développement durable.

  • Dossier de presse (514.94 Kb - Monday 03 September 2012) Signaler document absent !

    L’association «Etudes et Chantiers Corsica» (ECC) s’inscrit dans la continuité d’une association créée en 1995 dont l’objet était l’aménagement des espaces naturels et l’insertion socioprofessionnelle. Aujourd’hui, l’objectif principal d’ECC est de participer et de renforcer une politique régionale de création d’emplois d’intérêt économique et social. Dans ce but,  l’association «Etudes et chantiers» a opté pour la création d’ACI (Atelier et Chantier d’Insertion) spécialisé dans l’entretien d’espaces naturels sensibles et la restauration du patrimoine bâti en Haute-Corse. L’ACI constitue un des moyens pour développer, dans le cadre d’un partenariat avec les collectivités locales, une cohésion économique sociale et solidaire. La Commune de Sorio est la collectivité d’accueil et de base de l’ACI. 

    Afin de permettre aux personnes en difficulté de préparer le retour à l’emploi, en intégrant l’ACI, Etudes et Chantiers œuvre :

    • Au développement du processus de formation à partir du chantier pour qu’il soit un support de progression et d’acquisition de compétences.
    • A la mise en place des démarches de validation de compétences en  partenariat  avec des centres de formation (AFPA, CFPPA, ID Formation) et de formations au certificat SST.
    • A la mise en place d’Evaluations en Milieu de Travail (EMT).
    • Les salariés sont aussi formés aux «compétences clefs». L’objectif de cette formation est d’accompagner les personnes en difficulté dans l’acquisition ou la consolidation des «compétences clefs», afin de leur permettre de mieux communiquer, de se former, de gérer des situations de la vie professionnelle et d’accroître leur employabilité.  

    Dans le souci de concilier la viabilité économique de la structure avec ses missions d’insertion et d’utilité sociale, Etudes et Chantiers mobilise les collectivités locales afin de  développer des conventions de partenariat.
    Les travaux sont repartis sur le territoire de la Communauté de Communes du Nebbiu (zone d’intervention : rivière Aliso), en deux secteurs : zone de torrent/la montagne et zone de la plaine. Chaque secteur est divisé en quatre tronçons.
     

    Les travaux sont classifiés en petits, moyens et gros et ils sont déterminés de manière suivante : 

    • «Gros travaux» - les embâcles et les gros abattages.
    • «Moyens travaux» - abattage intermédiaire.
    • «Petits travaux» - petit nettoyage.
  • Les valorisateurs/trices du patrimoine : un nouveau métier ? (OEC) (491.64 Kb - Monday 03 September 2012) Signaler document absent !

    L’Institut pour le Développement et la Formation a développé une bonne pratique s’appuyant sur les différentes formations qu’il mène dans le domaine de la valorisation du patrimoine, et plus particulièrement sur la pré-qualification «Technicien valorisateur du patrimoine» et sur la formation certifiante  «Valorisateur du patrimoine».

    Ces actions permettent aux publics (demandeurs d’emploi, formation en chantier école) de :

    • Réaliser des travaux.
    • Valoriser, animer un site patrimonial, sensibiliser le public.
    • Développer l’emploi local.
    • Concevoir, piloter et gérer un projet de valorisation du patrimoine.
    • Diversifier leur champ de compétence et d’activité.
    • Se professionnaliser et acquérir des connaissances supplémentaires afin d’être en capacité d’intervenir dans l’entretien ou la réhabilitation du bâti ancien en utilisant des matériaux spécifiques et des savoir-faire anciens.
    • Choisir les techniques constructives et les matériaux respectant l’histoire et l’environnement de l’ouvrage.
    • Inscrire leur action dans la règlementation française.
    • Conduire seul la construction ou la restauration d’ouvrages en pierres sèches.

    Ces actions permettent également de réaliser des travaux concourant à la valorisation patrimoniale d’un site (construction et restauration d’ouvrages en pierres sèches, notamment grâce à l’appropriation et la mise en œuvre de techniques d’enduits et de badigeons à la chaux), de développer la valorisation/l’animation/la sensibilisation du public aux questions patrimoniales.
    Le niveau de la spécialisation «valorisation du patrimoine» se situe entre le chef  de chantier et l’ouvrier qualifié. Interface entre le chantier et le maître d’ouvrage ou l’architecte, le valorisateur suit l’exécution d’un chantier (fonction d’interface). Initié aux techniques traditionnelles de restauration, respectueuses des règles de l’art, le valorisateur travaille en autonomie aussi bien qu’en équipe.

    Cette bonne pratique et cette action s’inscrivent dans un réel travail partenarial mené avec l’Office de l’Environnement de la Corse dans le cadre du programme RACINE (2009-2011) «actions innovantes transnationales», qui a validé la  réalisation d’actions de formation :

    • Pré-qualification «Technicien valorisateur du patrimoine», mise en place à Sorio et à Luri en 2010.
    • Formation certifiante  «Valorisateur du patrimoine», mise en place à Sorio en 2011 et à Penta di Casinca en 2012.
       
  • Article de presse La Provence (782.09 Kb - Monday 03 September 2012) Signaler document absent !

    La création d’une coopérative pour le développement de l’emploi dans les métiers de l’éco-construction, restauration/valorisation du patrimoine a permis de doter le  territoire d’une structure dans le champ de l’économie sociale et solidaire. Cette structure a pour objectif de développer des projets globaux d’éco-construction et de restauration/valorisation du patrimoine et garantissant l’accessibilité de ces nouveaux métiers à des publics de bas niveau de qualification, en insertion et notamment aux femmes par la mise en place d’une phase test d’activité.

    La mise en place de cette  coopérative d’activité dans le secteur de l’éco-construction/restauration/valorisation du patrimoine bâti a permis :

    • De favoriser le développement du « bâtiment durable » (à impact neutre sur l’environnement puis énergie positive).
    • Une rénovation du bâti existant pour améliorer l’impact environnemental (consommation d’énergie en particulier).
    • L’intégration dans les constructions neuves des nouvelles normes (qui deviendront progressivement obligatoires).
    • De promouvoir les labels, normes (HQE et autres…).
    • D’accompagner les entreprises de la filière à s’adapter face aux mutations du secteur (aux nouvelles techniques, formation du personnel, structuration de la filière,…).
    • De valoriser les savoir-faire locaux.

    La coopérative pour le développement de l’emploi dans les métiers de l’éco-construction, restauration/valorisation du patrimoine s’organise autour de quatre départements :

    • Le département Phase Test d’activité durant lequel deux parcours sont possibles : dans le cadre d’un contrat sécurisé ou comme entrepreneur salarié.
    • Le département prestations de services.
    • Le département innovation expérimentation.

    Il s’agit :

    • De réaliser des tests d’activité pour tout porteur de projets dans le champ de  l’éco-construction restauration/valorisation du patrimoine bâti.
    • De développer une nouvelle forme d’emploi local dans le secteur de l’éco-construction restauration/valorisation du patrimoine bâti.
    • De mettre en place, à travers le département innovation/expérimentation, un centre de ressource, véritable laboratoire des pratiques entrepreneuriales et pôle d’excellence développement durable, visant à organiser l’ingénierie, le développement, l’expérimentation, la capitalisation et la diffusion de l’information, à offrir des formations en matière d’éco-construction et de restauration/valorisation du patrimoine.
    • De favoriser la mise en synergie des savoirs et des métiers permettant une meilleure adaptation aux évolutions du marché.
    • De favoriser l’insertion des publics en difficulté.
    • De contribuer à la professionnalisation du secteur : formation, tutorat, réunions collectives….
    • De proposer un modèle économique qui donne un sens à la capitalisation et à la mutualisation d’expériences et qui participe à la pérennité à la structure.
    • D’effectuer une hybridation des ressources (publiques / privées ; marchandes / non marchandes).
    • De permettre aux entrepreneurs à l’essai de s’engager dans une démarche volontaire visant à prendre en compte dans leur projet, les enjeux du  développement durable (production d’un bilan sociétal détaillant l’impact économique, social et environnemental de leur entreprise).
       
  • Exemple de communication de A Terra Verde (139.67 Kb - Monday 20 August 2012) Signaler document absent !

    A Terra Verde est une association faisant partie des «Jardins de Cocagne». Le chantier d’insertion mis en œuvre par la structure permet à des personnes de (re)construire un projet professionnel.

    Situé en Haute-Corse sur la commune de Prunelli di Fiumorbu, le jardin produit et livre des légumes bio (certification écocert) et des œufs bio sous forme de paniers solidaires distribués à travers la Corse pour les adhérents de l’association, restaurateurs, cantines, collectivités (…).

    Les salariés «ouvriers agricoles», encadrés par un maître maraîcher et une aide maraîchère, sont issus d’un public mixte composé d’hommes et de femmes âgées de 18 à 60 ans qui, pour diverses raisons, se sont retrouvées éloignés du monde du travail et qui sont tous à la recherche d’un emploi stable.
    Pendant leur période d’activité au sein du jardin, tout est mis en œuvre pour qu’ils puissent retrouver un emploi stable (formations, remise à niveau, périodes d’immersion en entreprise…).

    L'entrée en chantier d'insertion permet de travailler principalement sur  les aspects suivants :

    • Le redéploiement et la redynamisation de leur projet social et professionnel, grâce à un accompagnement spécifique.
    • L'acquisition d'une expérience professionnelle.
    • L'acquisition et l’élargissement de compétences.
    • La validation d'acquis.
    • La pré-qualification ou la qualification.
    • Un travail sur le savoir être, la confiance en soi, la socialisation.

    Les Jardins de Cocagne fonctionnent selon quatre grands principes, énoncés dans leur charte :

    • Une vocation d'insertion sociale et professionnelle de personnes en difficulté.
    • La production de légumes cultivés en agriculture biologique.
    • La commercialisation de ces légumes auprès d'un réseau d'adhérents.
    • L’intégration à la filière locale de l’agriculture biologique.

    Terra Verde, en partenariat avec le CIVAM BIO, organise régulièrement des ateliers de découverte pour les enfants, les écoles, et propose des chantiers de maraîchage bio ainsi que des ateliers de dégustation de produits bio pour les familles.

  • Grand Avignon Magazine spécial station d'épuration à roseaux plantés (4.19 MB - Thursday 16 August 2012) Signaler document absent !

    Si, comme dans les six autres stations d’épuration du Grand Avignon, les eaux usées de Jonquerettes sont traitées selon un procédé biologique (filtration, décantation et injection d’oxygène), les boues issues de ce procédé subissent un autre sort. En effet, dans le cadre de la politique globale d’assainissement, une solution très naturelle a été apportée à la problématique du traitement et de la valorisation des boues d’épuration produites par la station de Jonquerettes. Afin de renouveler le système, Le Grand Avignon a fait le choix de planter des «lits de séchage à plantations macrophytes» autrement dit des lits de roseaux.

    Les boues issues de la station d’épuration de Jonquerettes sont acheminées à l’état liquide dans ces lits de séchage qui seront déshydratées par les roseaux. Les 2 400 plants facilitent l’évaporation de l’eau pour ne laisser que de la matière sèche qui deviendra par la suite du compost. Cette technique est particulièrement innovante puisqu’elle ne consomme pas d’énergie (contrairement au séchage mécanique d’une centrifugeuse), nécessite peu d’entretien (les bassins sont curés une fois tous les 5 à 8 ans) et ne dégage aucune odeur. Sans compter que ces massifs filtrant s’intègrent parfaitement au paysage. Une méthode totalement écologique conçue par une entreprise locale Epur Nature, basée à Caumont-sur-Durance.

  • Programme du module 1 (39.52 Kb - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    L’ARFAB (Association Régionale de Formation dans l’Artisanat du Bâtiment) en région Provence Alpes Côte d’Azur et Corse a été créée en 1984 par un ensemble de professionnels issus des différents secteurs du bâtiment experts dans leur métier. Elle met en œuvre des formations pour développer les compétences des salariés au sein des entreprises afin de faire face aux nouveaux marchés mais également aux réglementations de plus en plus nombreuses.

    Depuis le 16/10/2007, l’ARFAB est habilitée par l’Association Technique Energie Environnement (ATEE) à dispenser des formations sur les économies d’énergies. Ces formations standardisées comprennent 3 modules :

    • Module 1 : Identifier les éléments clés d’une offre globale d’amélioration énergétique des bâtiments.
    • Module 2 : Maîtriser les outils pour mettre en œuvre une offre globale d’amélioration énergétique des bâtiments.
    • Module 3 : «Connaître, maîtriser et mettre en œuvre les groupes de technologies performantes d’amélioration énergétique des bâtiments.»

    Cette formation, si elle leur ouvre de nouveaux marchés, vise à opérer une mutation en profondeur de l’ensemble des professionnels du bâtiment et, de part leur proximité avec leur clientèle, à sensibiliser celle-ci aux technologies et matériaux du développement durable. Elle doit permettre à terme aux artisans qui l’auront suivie de se voir attribuer le label “Eco-artisan”.

  • Charte de la « GRAPPE » éco-bioconstruction (822.93 Kb - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    La grappe d’entreprise est une structuration flexible d’un partenariat local entre des petites entreprises actives dans un même secteur d’activité et offrants des services complémentaires les uns des autres.

    Il s’agit donc le plus souvent d’artisans ou de petits entrepreneurs issus d’une même sous région qui s’allient pour organiser ensemble une série de service et mutualiser leurs moyens.
    La grappe d’entreprise n’a pas obligatoirement de statut légal en tant que tel. Elle peut aussi prendre une forme juridique de type association 1901.
    Le concept permet donc aux membres de l’organiser selon la volonté et les objectifs spécifiques de ceux-ci. De le faire évoluer aussi en fonction du développement du projet.
    Au minimum, une animation doit être proposée pour que s’organisent et se développent les collaborations.

    Une charte commune de collaboration est aussi nécessaire.
    Une récurrence dans les réunions de coordination est utile.

    La poursuite d’objectifs et de projets concrets, communs est source de cohésion, mais aussi de développement pour les partenaires respectifs

  • Fiches Actions de l'Agenda 21 de Chevilly-Larue (3.54 MB - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    Il s’est agit :

    • D’intégrer le développement durable et de la démarche Agenda 21 dans tous les supports de communication existants et principalement dans le journal de la ville et le site Internet.
    • Favoriser les supports de communication (nouveaux et existants) éco-responsables :
      • Privilégier la dématérialisation (Internet, newsletter…).
      • Utiliser systématiquement du papier recyclé et des techniques d'impression respectueuses de l'environnement (encre végétale…).
    • Créer une rubrique Agenda 21 sur le nouveau site Internet de la ville : un nouvel article par mois.
    • Créer une rubrique Agenda 21 dans le mensuel de la ville.
    • Communiquer auprès des personnes relais de la démarche : instituteurs, associations, partenaires….
    • Créer un espace permanent dédié au développement durable au sein de la médiathèque avec des animations périodiques (expositions, ouvrages,…).
    • Travailler  transversalement avec les autres services pour la mise en œuvre des objectifs des fiches actions sur le volet communication.

    La mise en œuvre de la démarche est mesurée au travers les indicateurs suivants :

    • Nombre de rubriques concernant l'Agenda 21 dans le journal et le site Internet.
    • Nombre de pages consultées sur la rubrique Agenda 21 (site Internet).
    • Nombre de journaux distribués.
    • Enquête de satisfaction auprès des habitants sur les rubriques Agenda 21 du journal et du site Internet.
  • Vademecum eco-conditionnalité (186.94 Kb - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    Pour tous les projets, la participation financière du Département est liée au respect des objectifs fixés par les critères d’éco-conditionnalité. Un comité de pilotage est chargé d’examiner l’ensemble des projets déposés.

    Pour les bâtiments neufs :

    3 cibles prioritaires :

    • Energie :

    2 critères sont pris en compte :

    • Performance de l’enveloppe du bâti : respect d’un coefficient d’isolation (Ubât) amélioré de 20 % par rapport à la norme en vigueur.
    • Maîtrise des consommations d’énergie : respect de la norme Très Haute Performance Energétique (THPE) soit une consommation inférieure de 20% par rapport à la norme en vigueur.

    Appuyé par 2 études : une Simulation Thermique et Dynamique qui permet, en phase conception, de valider et/ou modifier certains choix (volumes, orientation, organisation intérieure, matériaux, systèmes…) pour atteindre les objectifs fixés et un calcul réglementaire – RT 2005 - obligatoire pour toute construction neuve qui permet de vérifier que les objectifs sont atteints (Ubât et Cep)

    • Gestion de l’eau :

    2 critères sont pris en compte :

    • Maîtrise des consommations à l’intérieur du bâtiment : installation de dispositifs hydro-économes.
    • Maîtrise des consommations à l’extérieur du bâtiment : récupération des eaux pluviales pour l’arrosage des espaces verts.

    L’objectif de performance est le suivant : Réduction du débit + Réduction volume puisé = 40 à 60 % d’économie d’eau

    • Gestion des déchets

    2 critères sont pris en compte :

    • Gestion des déchets de chantier : signature d’une charte de chantier à faible nuisance et mise en place de bordereaux de suivi de l’élimination des déchets.
    • Gestion des déchets d’activité : création de locaux spécifiques, en cohérence avec les modes de collecte.

    Pour la rénovation/réhabilitation :

     

    2 critères énergétiques sont pris en compte :

    • Performance de l’enveloppe du bâti : améliorer de 10% le coefficient d’isolation (Ubât) par rapport à la  référence Ubât.
    • Diminuer de 40% les consommations d’énergies par rapport à la situation initiale au lieu des 30% réglementaires.

    La méthodologie préconisée à cet égard est la suivante :

    • 1ère ETAPE : Réaliser un calcul RT2005 initial avant travaux : fiche d’identité énergétique du bâtiment 2èmeETAPE : Elaborer différents scénarii d’amélioration énergétique et arrêter, au stade APD, la solution optimale.
    • 3ème ETAPE : Réaliser un calcul RT2005 global APRES CONCEPTION Valider les choix retenus pour atteindre les critères (enveloppe et consommation).

    Le coût des études thermiques est intégré à l’assiette éligible du département.


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