• Caractéristiques principales
  •  Diversité de l’agriculture (potentialités et ressources diverses : plaines irriguées, terroirs, parcours).
  •   Caractère non intensif de l’agriculture (taille des parcelles, densité, conduite) n'impactant pas la qualité des eaux superficielles et souterraines.
  •  Contribution forte à la production d'aménités, à l'équilibre territorial, aux paysages et à la biodiversité.
  •   Biodiversité remarquable au niveau des semences et espèces domestiques locales, adaptées aux conditions d'exploitation et à leur milieu et sources de valeur-ajoutée.
  •  Valorisation de la qualité et de la typicité (structuration de filières, appellation d’origine, productions typiques) sur une offre de produits diversifiés.
  •   Importance de la part de la SAU en landes et parcours : conservation des sols et stockage du carbone.
  •  Faible nombre d'acteurs ruraux et agricoles.
  •   Difficultés d'accès aux ressources foncières : maîtrise (indivis) et pression urbaine (spéculation).
  •  Offre de produits agricoles inférieure à la demande.
  •   Dépendance au continent (fourrages, intrants, compléments alimentaires), des coûts de transports élevés.
  •  Existence de marges de progrès en matière de formation.
  •   Sensibilisation et formation insuffisante aux questions environnementales (érosion entre autre).
  •  Divagation animale : utilisation non maîtrisée des ressources et conflits d'usage.
  • Tendances évolutives
  •   Structuration des filières de production, organisation des producteurs et démarches de certification de la qualité.
  •   Existence d’un marché porteur pour les produits corses.
  •   Essor de l'agriculture biologique et raisonnée.
  •   Diminution des mises à feux d'origine pastorale.
  •   Mise en place de la Commission départementale de consommation des espaces agricoles (CDCEA).
  •   Mise en oeuvre du PADDUC valant Plan régional de l'agriculture durable.
  •   Potentialités productives importantes mobilisables.
  •   Diminution des acteurs ruraux et agricoles : fermeture du milieu (risques d’incendies, perte de biodiversité, etc.).
  •   Étalement urbain, spéculation foncière, consommation des espaces à fortes potentialités par des usages immobiliers d'agrément, d'habitation ou de production.
  •   Désaffection pour la production de certaines spéculations demandées au niveau du marché local (maraîchage).
  •   Risques sanitaires et espèces invasives (cynips par exemple) demandant contrôles et anticipation.

 

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