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  • Vademecum eco-conditionnalité (186.94 Kb - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    Pour tous les projets, la participation financière du Département est liée au respect des objectifs fixés par les critères d’éco-conditionnalité. Un comité de pilotage est chargé d’examiner l’ensemble des projets déposés.

    Pour les bâtiments neufs :

    3 cibles prioritaires :

    • Energie :

    2 critères sont pris en compte :

    • Performance de l’enveloppe du bâti : respect d’un coefficient d’isolation (Ubât) amélioré de 20 % par rapport à la norme en vigueur.
    • Maîtrise des consommations d’énergie : respect de la norme Très Haute Performance Energétique (THPE) soit une consommation inférieure de 20% par rapport à la norme en vigueur.

    Appuyé par 2 études : une Simulation Thermique et Dynamique qui permet, en phase conception, de valider et/ou modifier certains choix (volumes, orientation, organisation intérieure, matériaux, systèmes…) pour atteindre les objectifs fixés et un calcul réglementaire – RT 2005 - obligatoire pour toute construction neuve qui permet de vérifier que les objectifs sont atteints (Ubât et Cep)

    • Gestion de l’eau :

    2 critères sont pris en compte :

    • Maîtrise des consommations à l’intérieur du bâtiment : installation de dispositifs hydro-économes.
    • Maîtrise des consommations à l’extérieur du bâtiment : récupération des eaux pluviales pour l’arrosage des espaces verts.

    L’objectif de performance est le suivant : Réduction du débit + Réduction volume puisé = 40 à 60 % d’économie d’eau

    • Gestion des déchets

    2 critères sont pris en compte :

    • Gestion des déchets de chantier : signature d’une charte de chantier à faible nuisance et mise en place de bordereaux de suivi de l’élimination des déchets.
    • Gestion des déchets d’activité : création de locaux spécifiques, en cohérence avec les modes de collecte.

    Pour la rénovation/réhabilitation :

     

    2 critères énergétiques sont pris en compte :

    • Performance de l’enveloppe du bâti : améliorer de 10% le coefficient d’isolation (Ubât) par rapport à la  référence Ubât.
    • Diminuer de 40% les consommations d’énergies par rapport à la situation initiale au lieu des 30% réglementaires.

    La méthodologie préconisée à cet égard est la suivante :

    • 1ère ETAPE : Réaliser un calcul RT2005 initial avant travaux : fiche d’identité énergétique du bâtiment 2èmeETAPE : Elaborer différents scénarii d’amélioration énergétique et arrêter, au stade APD, la solution optimale.
    • 3ème ETAPE : Réaliser un calcul RT2005 global APRES CONCEPTION Valider les choix retenus pour atteindre les critères (enveloppe et consommation).

    Le coût des études thermiques est intégré à l’assiette éligible du département.

  • Tableau synoptique des outils (11.58 Kb - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    L'ADEME a décidé, dans le cadre de sa démarche d'accompagnement de ses partenaires au développement durable, d'effectuer un recensement des outils de sensibilisation ou de premier accompagnement des PME-PMI au développement durable.

    Cet inventaire des outils a notamment été réalisé à partir de recherches documentaires et d'entretiens téléphoniques. Dans un premier temps, tous les outils DD disponibles ont été listés avant d'être classés par la suite à partir d'une étude plus approfondie basée sur les critères suivants :

    • Cible touchée par l'outil : PME-PMI ou entreprises en général.
    • Objectif de l'outil : sensibilisation ou premier accompagnement.
    • Disponibilité de l'information : obtention de l'outil, conditions spécifiques de recueil des conditions d'utilisation.
    • Accessibilité de l'outil : langue, simplicité d'utilisation, temps à y consacrer.
    • Champs couverts : transversalité des domaines abordés : étude des axes identifiés du développement durable : économie, social, environnement et bonne gouvernance.

    Les outils ont été classés en deux catégories : les outils ne répondant pas ou de manière inadaptée aux critères spécifiés ("Tableau synoptique des outils") et les outils de sensibilisation ou de premier accompagnement que l'ADEME considère comme les plus adaptés pour les entreprises - en particulier pour les PME-PMI.

    Le recensement présenté sur le site Internet (http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=17729&m=3&catid=17730) n'est pas exhaustif ; certains outils actuellement proposés aux entreprises ne sont pas présentés dans ce module, en particulier faute de possibilité d'étude détaillée de ces derniers. De plus, de nombreuses fédérations professionnelles développent et proposent leur propre outil à destination de leurs adhérents ; c'est également le cas pour beaucoup de bureaux d'études et de cabinets de conseil, outils dont l'accès est bien souvent conditionné à l'acceptation d'une offre d'accompagnement.

    La sélection et la valorisation des outils présentés ne relève que du seul choix de l'ADEME (définition des critères, appréciation des outils) et n'engage en aucun cas les auteurs et/ou diffuseurs des outils.

    Le contenu du module est susceptible d'évoluer au gré des informations recueillies par l'ADEME et de ses orientations stratégiques vis-à-vis de ses partenaires "entreprises".
     

  • Réglement des trophées du développement durable de la Haute Corse 2011-2012 (329.93 Kb - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    Projet fédérateur de compétences Départementales sur le thème du développement durable qui se déroule sur une année scolaire.

    L'objectif réside dans la sensibilisation au développement durable des scolaires grâce à la mise à disposition d'outils pédagogiques variés :

    • Ateliers en classe ou sur site.
    • Malette pédagogique.
    • Réunions d'information et de formation des enseignants.
    • Suivi linguistique et opérationnel dans les classes.

    La combinaison de ces outils avec la possibilité de participer à un concours représente une motivation supplémentaire pour les enfants.

    Les partenaires idéntifiés sur l'année 2011-2012 sont :

    • L'inspection d'acdémie de la Haute-Corse.
    • La collectivité territoriale de Corse.
    • L'Office de l'environnement de la Corse.
    • Le CPIE centre Corse.
    • La SNCF-CFC.
  • Programme du module 1 (39.52 Kb - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    L’ARFAB (Association Régionale de Formation dans l’Artisanat du Bâtiment) en région Provence Alpes Côte d’Azur et Corse a été créée en 1984 par un ensemble de professionnels issus des différents secteurs du bâtiment experts dans leur métier. Elle met en œuvre des formations pour développer les compétences des salariés au sein des entreprises afin de faire face aux nouveaux marchés mais également aux réglementations de plus en plus nombreuses.

    Depuis le 16/10/2007, l’ARFAB est habilitée par l’Association Technique Energie Environnement (ATEE) à dispenser des formations sur les économies d’énergies. Ces formations standardisées comprennent 3 modules :

    • Module 1 : Identifier les éléments clés d’une offre globale d’amélioration énergétique des bâtiments.
    • Module 2 : Maîtriser les outils pour mettre en œuvre une offre globale d’amélioration énergétique des bâtiments.
    • Module 3 : «Connaître, maîtriser et mettre en œuvre les groupes de technologies performantes d’amélioration énergétique des bâtiments.»

    Cette formation, si elle leur ouvre de nouveaux marchés, vise à opérer une mutation en profondeur de l’ensemble des professionnels du bâtiment et, de part leur proximité avec leur clientèle, à sensibiliser celle-ci aux technologies et matériaux du développement durable. Elle doit permettre à terme aux artisans qui l’auront suivie de se voir attribuer le label “Eco-artisan”.

  • Plaquette de présentation des éco-subventions (1.42 MB - Tuesday 14 August 2012) Signaler document absent !

    Le Conseil général réserve chaque année plus de 100 millions d’euros aux communes de l’Isère, associations et organismes privés pour les aider à réaliser leurs projets. Les aides éco-conditionnelles s’inscrivent dans une démarche qui consiste à généraliser des objectifs que le Département s’est fixé pour ses équipements.

    Les critères s’appliquent depuis  le 10 mai 2010 à la plupart des opérations de bâtiment et de voirie dont le montant est supérieur ou égal à 100 000 euros ce qui permet d’agir uniquement sur des projets, qui en raison de leur coût, nécessitent l’aide ou l’intervention d’un cabinet d’études et permettent d’intervenir sur les dossiers qui concentrent des enjeux de développement durable.

    Les critères à respecter se veulent :

    • Simples : faciles à appréhender par les porteurs de projets et à instruire par les services départementaux.
    • Réalistes : dans un souci de clarté, le Conseil général a fixé des critères qui s’appliquent selon la nature du projet : construction ou réhabilitation d’un bâtiment, aménagement ou création d’une voirie.
    • Pragmatiques : chaque critère fixe un objectif réaliste à atteindre : économie d’énergie, maîtrise des coûts de fonctionnement.

    Pour les subventions à la construction ou la réhabilitation de bâtiments trois enjeux sont visés : la réalisation d’économies d’énergie, le tri et le recyclage des déchets et l’optimisation de la dépense.

    • Bâtiments neufs : respect du niveau de performance énergétique bâtiment basse consommation ; maitrise des déchets de chantier ; organisation du tri des déchets produits dans le bâtiment.
    • Réhabilitation de bâtiments : réduction des consommations d’énergie. Les autres critères sont identiques à ceux proposés pour les projets bâtiments neufs.

    Pour les bâtiments communaux et intercommunaux uniquement au minimum un critère supplémentaire d’optimisation parmi les trois proposés doit être choisi par le maître d’ouvrage en fonction de la possibilité du projet : mixité fonctionnelle (bâtiment assurant plusieurs fonctions de manière concomitante exemple crèche et logements ; polyvalence (bâtiment adapté à des fonctions successives, exemple école et centre de loisirs ; mutualisation intercommunale (bâtiment en maîtrise d’ouvrage intercommunale ou convention d’utilisation entre plusieurs communes).

    Pour les subventions aux projets de voierie trois enjeux sont visés : la gestion économe des ressources (matériaux, eau, énergie et biodiversité), l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite et le développement des transports alternatifs à la voiture individuelle ainsi que la lutte contre l’étalement urbain. Dans ce contexte le Département a fixé une règle générale et plusieurs critères d’éligibilités.

    • La règle : les accès (aménagements et carrefours) et les extensions de voierie vers de nouvelles zones urbanisables (zones AU des PLU ou zone NA des POS) ne seront plus financés à l’exception des projets de requalification de sites.
    • Les critères :

      • Adoption d’une délibération engageant le maitre d’ouvrage sur un objectif d’abandon d’ici à 2012 de l’usage des phytosanitaires, hors les produits acceptés en agriculture biologique, dans le gestion de leurs voieries et dépendances. Ce critère s’applique à tous les dossiers de voierie quelque soit leur montant.
      • Utilisation de matériaux recyclés ou réutilisés.
      • Gestion équilibrée et durable des eaux pluviales.
      • Accessibilité des personnes à mobilité réduite.
      • Un critère au choix parmi les trois suivants : gestion des espaces verts, gestion de l’éclairage public, soutien aux modes de transports doux ou collectifs.
  • Plaquette (9.53 MB - Monday 12 September 2016) Signaler document absent !

    Les travaux sont réalisés à l'aide de deux juments de traits. De multiples services sont proposés :

    - Travaux sur des espaces naturels sensibles (milieux forestiers, cours d'eau...). Ces méthodes permettent de préserver la biodiversité qui caractérise ces espaces. Ex : création et entretien de sentiers, débardages forestiers ou en zones humides, restauration et entretien des ripisylves, etc.
    - Labour en agriculture biologique et vendange en viticulture biologique. Dans ces domaines, les bienfaits de la traction animale pour les sols ne sont plus à démontrer.
    - Nettoyage écologique des plages. Nettoyage écologique sans porter atteinte au trait de côte ou à la dune.
    - Journée de découverte, démonstrations et sensibilisation. Il s'agit d'initier la population à cette technique et à ses avantages et ainsi sensibiliser aux bonnes pratiques en matière de développement durable.

  • L’hôtel des Gorges du Verdon : Un hébergeur engagé (943.54 Kb - Tuesday 24 July 2012) Signaler document absent !

    L’hôtel des Gorges du Verdon a fait du développement durable une de ses priorités d’action et son principal atout marketing. Ses propriétaires ont en effet fait le choix de s’engager dans une démarche de durabilité touristique et de valoriser leurs actions à travers les labels suivants :

    • 2007 : obtention du label «la clé verte» (renouvellement tous les ans)
    • 2010 : adhésion au groupement «les hôtels au naturel»
    • 2011 : obtention de l’écolabel européen.

    Cet engagement et l’ensemble de ces actions ont d’ailleurs été salués par l’obtention en 2011, des Victoires de l’entreprise, catégorie développement durable (prix attribué par la CCI et le Conseil Général des Alpes de Haute Provence).

  • Les valorisateurs/trices du patrimoine : un nouveau métier ? (OEC) (491.64 Kb - Monday 03 September 2012) Signaler document absent !

    L’Institut pour le Développement et la Formation a développé une bonne pratique s’appuyant sur les différentes formations qu’il mène dans le domaine de la valorisation du patrimoine, et plus particulièrement sur la pré-qualification «Technicien valorisateur du patrimoine» et sur la formation certifiante  «Valorisateur du patrimoine».

    Ces actions permettent aux publics (demandeurs d’emploi, formation en chantier école) de :

    • Réaliser des travaux.
    • Valoriser, animer un site patrimonial, sensibiliser le public.
    • Développer l’emploi local.
    • Concevoir, piloter et gérer un projet de valorisation du patrimoine.
    • Diversifier leur champ de compétence et d’activité.
    • Se professionnaliser et acquérir des connaissances supplémentaires afin d’être en capacité d’intervenir dans l’entretien ou la réhabilitation du bâti ancien en utilisant des matériaux spécifiques et des savoir-faire anciens.
    • Choisir les techniques constructives et les matériaux respectant l’histoire et l’environnement de l’ouvrage.
    • Inscrire leur action dans la règlementation française.
    • Conduire seul la construction ou la restauration d’ouvrages en pierres sèches.

    Ces actions permettent également de réaliser des travaux concourant à la valorisation patrimoniale d’un site (construction et restauration d’ouvrages en pierres sèches, notamment grâce à l’appropriation et la mise en œuvre de techniques d’enduits et de badigeons à la chaux), de développer la valorisation/l’animation/la sensibilisation du public aux questions patrimoniales.
    Le niveau de la spécialisation «valorisation du patrimoine» se situe entre le chef  de chantier et l’ouvrier qualifié. Interface entre le chantier et le maître d’ouvrage ou l’architecte, le valorisateur suit l’exécution d’un chantier (fonction d’interface). Initié aux techniques traditionnelles de restauration, respectueuses des règles de l’art, le valorisateur travaille en autonomie aussi bien qu’en équipe.

    Cette bonne pratique et cette action s’inscrivent dans un réel travail partenarial mené avec l’Office de l’Environnement de la Corse dans le cadre du programme RACINE (2009-2011) «actions innovantes transnationales», qui a validé la  réalisation d’actions de formation :

    • Pré-qualification «Technicien valorisateur du patrimoine», mise en place à Sorio et à Luri en 2010.
    • Formation certifiante  «Valorisateur du patrimoine», mise en place à Sorio en 2011 et à Penta di Casinca en 2012.
       
  • Label et Marque Valais Excellence (468.49 Kb - Tuesday 24 July 2012) Signaler document absent !

    Le label Valais excellence, identifié par le logo Valais excellence s’adresse aux entreprises et institutions valaisannes. Sous le contrôle de l’Association Marque Valais, l’attribution de ce label repose sur une certification des entreprises ou des institutions aux normes ISO 9001 et 14001, ainsi que sur l’analyse de critères permettant la vérification du respect des valeurs de la marque Valais par les entreprises ou institutions requérantes.

    La marque Valais est portée par les produits emblématiques du Valais ainsi que sur tout moyen de communication en lien avec ces produits (cf. Règlement pour l’attribution de la marque Valais). Elle est identifiée par le logo Valais. Sous le contrôle de l’Association Marque Valais, les critères d’attribution de cette marque commerciale sont, d’une part la provenance valaisanne ainsi que le respect d’un cahier des charges spécifique pour chaque produit et d’autre part, l’engagement de l’entreprise productrice, à travers la signature d’une charte, à respecter les valeurs de la marque.

    Les 4 piliers de Valais Excellence :

    • Des instruments de management adaptés aux PME et basés sur les normes internationales ISO 9001 & 14001.
    • Un concept de formation et de mise en place d'un Système de Management Intégré (SMI).
    • Un réseau d'entreprises articulé autour d'une plateforme d'échanges de bonnes pratiques.
    • Une marque de garantie cantonale (la marque Valais Excellence).
  • Grand Avignon Magazine spécial station d'épuration à roseaux plantés (4.19 MB - Thursday 16 August 2012) Signaler document absent !

    Si, comme dans les six autres stations d’épuration du Grand Avignon, les eaux usées de Jonquerettes sont traitées selon un procédé biologique (filtration, décantation et injection d’oxygène), les boues issues de ce procédé subissent un autre sort. En effet, dans le cadre de la politique globale d’assainissement, une solution très naturelle a été apportée à la problématique du traitement et de la valorisation des boues d’épuration produites par la station de Jonquerettes. Afin de renouveler le système, Le Grand Avignon a fait le choix de planter des «lits de séchage à plantations macrophytes» autrement dit des lits de roseaux.

    Les boues issues de la station d’épuration de Jonquerettes sont acheminées à l’état liquide dans ces lits de séchage qui seront déshydratées par les roseaux. Les 2 400 plants facilitent l’évaporation de l’eau pour ne laisser que de la matière sèche qui deviendra par la suite du compost. Cette technique est particulièrement innovante puisqu’elle ne consomme pas d’énergie (contrairement au séchage mécanique d’une centrifugeuse), nécessite peu d’entretien (les bassins sont curés une fois tous les 5 à 8 ans) et ne dégage aucune odeur. Sans compter que ces massifs filtrant s’intègrent parfaitement au paysage. Une méthode totalement écologique conçue par une entreprise locale Epur Nature, basée à Caumont-sur-Durance.


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